Tennis de table : La fédération togolaise jouit des projets
La Fédération Togolaise de Tennis de Table a exécuté quatre projets au titre du Programme 2024 de la Fédération Internationale de la discipline. Entre le 08 et le 23 août, plusieurs projets ont été exécutés sur le plan national. Un camp d’entraînement suivi d’un tournoi qui a regroupé près de 30 jeunes filles et garçons ont été initiés.
Dans le souci de mieux promouvoir le tennis de table dans les fédérations nationales membres, la Fédération Internationale de la discipline met en place annuellement, des programmes qui renferment plusieurs projets. Pour le compte de l’année 2024, la fédération togolaise a bénéficié de quatre projets qualifiés de nationaux.
Pour Lawson Kaka, Directeur Technique National de la FTTT, les activités sont allées du plan international au plan national. Dans le cas du Togo, ils ont opté pour des projets nationaux.
“ Les activités vont des activités internationales aux activités nationales. Là nous sommes dans le cadre du programme de Participation 2024. Et dans ce programme de Participation, il y a plusieurs rubriques. Nous au Togo cette année, nous avons choisi de faire des projets nationaux ”
Ainsi, sous la direction de ce département technique, une formation des entraîneurs a eu lieu les 8 et 9 août, suivie du camp d’entraînement des jeunes du 12 au 16 août 2024. Les arbitres ont également été édifiés à travers une formation tenue le 21 août.
Ce programme de participation a pris fin par un tournoi qui a regroupé les 22 et 23 août une trentaine de jeunes filles et garçons de 14 ans et moins ainsi que ceux des pongistes espoirs de moins 20 ans. La gente féminine s’est bien représentée lors de cette formation.
Des personnes en situation de handicap ont également pris part à ce tournoi. Quinze femmes sur 52 pour l’ensemble des activités menées au cours de ce programme de participation 2024 ont été remarquées. La Fédération Internationale de Tennis de Table attache du prix à l’aspect genre dans ses activités a mentionné Lawson Kaka.
“ dans les exigences de la Fédération Internationale, il doit y avoir 35 % des filles ou des femmes dans tout ce que nous faisons. Que ce soit dans l’arbitrage, dans la formation des entraîneurs, et même au niveau des joueurs. La remarque est qu’il y a plus de jeunes garçons qui jouent plus que les jeunes filles ”